Keur sacré
Le Keur brûle sous le feu du Monde
Une excitation de sa Conscience et de son Énergie
Par l’anxiété pyromane et innocente du Pro fané
Qui a usé sa sève à se reconnecter à la Source
Pour une transparence du Soi au Maître Créateur
Simple instrument, partie de la symphonie de l’Uni vert
Le Pro lâche, face au don de la vie, prise sur la possession
Le Keur au rêve d’eau, Amour qui délivre
Attends Du Pro l’arrachement des fleurs du Mal
Ivraie qui, tue, condamne le Keur à l’enfance
L’antichambre de la rencontre est à nouveau combat
Pour que la pierre du tombeau roule sous l’Écriture
Et libère le Corps, Keur, dans une Renaissance
De l’esprit d’une communauté que le Pro fête.