« Le capitalisme, dans sa forme actuelle, ne peut pas éradiquer la pauvreté car il s’en sert pour faire valoir son existence. La compétition entre états et la notion de classes sociales est le déséquilibre qui justifie la création de richesse et de valeur pour les uns ainsi que la course pour le simple pouvoir d’achat pour les autres. C’est une dynamique de système implacable qui ne laisse pas de place pour l’accès équitable aux ressources et pour le partage des fruits issus de l’effort économique. Sauf si le pauvre se réapproprie son dû par toute forme d’actions licites et légitimes y compris son propre effort d’indépendance financière et psychique. »
ASSOUKA